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Le Monde de NEOMA

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L’International Day, c’est le rendez-vous incontournable pour les étudiants qui souhaitent partir à l’étranger. L’occasion de rencontrer les universités partenaires et d’échanger avec ceux qui sont déjà partis. L’édition 2020 ne pouvait se tenir en « vrai » ? Qu’à cela ne tienne, NEOMA l’organisait le 3 décembre sur son nouveau campus virtuel. Chacun paré de son avatar pouvait entrer, circuler, assister aux présentations, intervenir, discuter… comme dans la réalité. Quatre étudiants racontent cette expérience unique.

 

LAURA BAUD

Master 1 PGE

Quel est votre projet de mobilité ?

Mon échange est en septembre 2021. J’aimerais aller en Asie, particulièrement en Corée, ou pourquoi pas au Vietnam.

Que recherchiez-vous sur le campus virtuel de NEOMA ?

Je cherchais à savoir comment les étudiants ont ressenti leur séjour dans les pays où je veux me rendre, ce qu’ils ont adoré, ce qu’ils ont moins aimé, les cours qui leur ont plu, ce que l’on peut faire en matière de tourisme, et bien sûr l’aspect financier. Les étudiants parlaient sans filtre de leur vrai ressenti, j’ai trouvé ça très bien. Ils avaient préparé un diaporama, on pouvait bien suivre, c’était très interactif.

Que pensez-vous de cette expérience virtuelle ?

Au départ, il faut apprendre à se déplacer, mais ensuite, c’est très simple. Les étudiants du Bureau de l’International nous indiquaient les salles et nous accompagnaient. Une fois à la conférence, on voyait les autres étudiants, on pouvait très simplement participer, ouvrir nos micros, ou écrire sur les tchats. On pouvait aussi se rendre dans des espaces de travail ou de convivialité, discuter comme dans la réalité. C’était bien mieux qu’un simple Zoom. Et pour ce genre d’événement, qui concerne autant les étudiants de Reims que de Rouen, c’est très pratique.

CHIRINE TAHIR

1ère année Global BBA

Quel est votre projet de mobilité ?

Je voudrais partir en Allemagne l’année prochaine.

Que recherchiez-vous sur le campus de NEOMA?

Je suis venue me renseigner sur l’Allemagne, et sur toutes les universités. Je voulais avoir plus d’informations que celles fournies par leur site Internet. Par exemple, comment les étudiants vivent dans les villes. J’ai eu plein d’informations sur l’université de Cologne, sur Otto Beisheim School à Vallendar et Düsseldorf , sur Dortmund où je pense me diriger. J’ai eu toutes les réponses à mes questions. Finalement, je suis même allée voir l’Inde, le Canada… Ça m’a fait penser à d’autres destinations. 

Que pensez-vous de cette expérience virtuelle ?

J’étais impressionnée par l’organisation. Tous les accompagnateurs avaient leur micro ouvert, on pouvait les entendre, ils pouvaient nous entendre. En cas de problème, ils nous montraient le chemin, exactement comme dans la réalité. Avec les étudiants de ma classe, on s’est retrouvés sur les activités organisées sur le campus, ça faisait oublier l’aspect virtuel. Je ne pense pas qu’il y ait beaucoup d’écoles qui organise ce genre de rendez-vous.

VARVARA SHETSOVA

Master 1 PGE

Quel est votre projet mobilité ?

Je voudrais partir en Amérique du Nord, de préférence les Etats-Unis, peut-être le Canada. Mais je regarde aussi du côté du Chili ou de l’Asie du sud-est.

Que recherchiez-vous sur le campus virtuel de NEOMA ?

Je voulais absolument voir les étudiants qui présentaient les pays d’Amérique du Nord,. Les représentants des universités étaient présents, c’était donc très intéressant de pouvoir échanger directement avec eux, de poser les questions les plus techniques, ce qui est plus long par mail. Les étudiants eux pouvaient nous préciser les budgets nécessaires pour vivre sur place,. Puis je suis allée écouter la conférence sur l’Inde, même si au départ, ça ne m’intéressait pas. C’était passionnant. Au final, j’ai eu les réponses à toutes mes questions : je savais que l’Amérique du Nord seraient mes priorités, mais j’ai compris que l’Asie m’attirait moins que l’Amérique du sud.

Que pensez-vous de cette expérience virtuelle ?

Je me suis connectée dès le début, à 16h, et je suis restée jusqu’à 21h. On était accueillis par le staff de NEOMA, et peu à peu on se familiarise avec le logiciel. On pouvait marcher sur le campus, mais aussi courir, et je trouvais ça bien. Parfois, ça me stresse de perdre du temps pour me déplacer. Et je trouve que tout ce qui est social est plus facile. On ose davantage poser des questions. Ça enlève toutes les peurs.

MAEL CONUS

1ère année Global BBA

Quel est votre projet de mobilité ?

Je vais privilégier des destinations avec des écoles francophones. A l’université Laval au Québec, les cours sont en français, et ça peut être une super expérience.  

Que recherchiez-vous sur le campus de NEOMA ?

Je voulais entendre le ressenti des élèves même s’ils sont partis dans des pays où je n’irai pas. Je suis allé écouter les présentations du Canada, de Washington, du Mexique…  , je suis resté longtemps, j’ai pu poser plein de questions sur l’adaptation, quand on part loin, on a peur d’être tout seul et de ne pas réussir à s’adapter ; sur le coût de la vie, s’il valait mieux prendre un appartement ou une chambre dans le campus, sur les cours, sur la vie en ville… C’était enrichissant.

Que pensez-vous de cette expérience virtuelle ?

Franchement, c’était très facile d’accès : il suffit de créer un avatar et d’aller directement dans le monde virtuel. En un clic, on active le micro et on peut intervenir. On peut choisir d’être entendu par tous ou de ne parler qu’à une personne. On peut même écrire dans le tchat, poser nos questions, et le staff répond facilement.

Faire l’International Day sur le campus virtuel, ça revient exactement au même qu’en réel. Le fait de se balader dans toutes les salles, c’est comme en présentiel. Pour ma part, j’étais plus à l’aise pour poser des questions. Je n’aurais pas osé autant en réel.