De vrais défis de développement à l’international proposés par de vraies entreprises, à relever en équipes composées d’étudiants venant du monde entier : voilà le challenge proposé au sein du MSc International Project Development.

​Business, international, interculturalité, gestion de projet, learning by doing…

Le Projet X-Culture est d’une richesse incroyable pour les étudiants du MSc International Project Development de NEOMA. Pendant 2 mois, ils ont en effet travaillé en équipes composées d’étudiants venant d’universités et écoles du monde entier sur des challenges réels proposés par des petites ou moyennes entreprises basées au Brésil, en Pologne, en Norvège, à Singapour ou encore aux États unis, et qui cherchent à se développer.

Un double challenge

Business d’abord avec la proposition d’un diagnostic face à une problématique commerciale, la recommandation de nouveaux marchés et la manière de les pénétrer.

Mais également culturel. Pour mener à bien leur projet, les étudiants ont dû trouver des moyens de communiquer entre eux, de s’accorder, de diviser le travail, de partager les taches… en s’adaptant aux différences culturelles, aux décalages horaires, aux manières de fonctionner variées…

Le Projet X-Culture, ce sont les étudiants qui en parlent le mieux !

Mathilde :

« Ce que j’ai préféré dans le projet X-Culture, c’est tout d’abord le fait de pouvoir échanger avec des personnes de nationalités différentes. J’ai pu profiter d’une grande richesse culturelle et progresser en anglais, notamment en travaillant à comprendre des accents qui étaient très variés puisque mon équipe était composée d’un Italien, d’un Japonais, de deux américains et d’une Indienne.

Le projet m’a énormément aidée à développer mes compétences en gestion de projets et à être plus rigoureuse dans le rendu des dossiers en respectant les délais impartis. De plus, j’ai eu l’opportunité de découvrir un nouveau sujet que je ne connaissais pas : l’univers des jeux en ligne basés sur le système de blockchain.

J’ai pu contribuer au projet grâce à mes recherches sur le sujet et à ma participation active aux réunions que nous faisions toutes les semaines. Ma volonté d’interagir avec les autres, de progresser en anglais et de m’intéresser à notre sujet, m’a permis d’être moteur au sein du groupe. J’ai eu l’occasion d’interagir avec tous les membres de l’équipe pour apprendre à les connaître et à savoir comment ils travaillaient. C’était très intéressant de découvrir la méthode de travail de chacun. »

Margaux :

« C’est un projet très enrichissant. Il nous a permis de travailler sur une problématique d’entreprise avec des personnes du monde entier. Mon groupe était composée de 5 personnes : 2 Américains, 1 Indien, 1 Japonais et 1 Française, nous avons travaillé sur l’entreprise X-Culture et sa volonté de développer une autre clientèle. Cela s’est très bien passé même si travailler à distance avec des décalages horaires et la barrière de la langue était très challengeant ! Ce projet était très intéressant d’un point de vue personnel mais aussi professionnel. En effet, dans un monde de plus en plus digital et international, il est nécessaire d’apprendre à travailler à distance avec des personnes de cultures différentes. »

Les deux professeures en charge de la coordination du projet ne sont pas en reste :

Ana Colovic, Professeure du Département Stratégie & Entrepreneuriat : « Je suis très fière de mes étudiants qui ont mené à bien le Projet X-Culture aux côtés de plus de 6 000 étudiants venant de 150 universités basées dans 78 pays et sur 6 continents : voilà une véritable expérience d’apprentissage internationale ! »

Sandrine Henneron, Professeure du Département Comptabilité, Contrôle & Affaires Juridiques : « Je suis très impressionnée par la qualité des recommandations des équipes X-Culture. Ce fut également une expérience unique de collaboration transversale avec ma collègue Ana Colovic et d’expérimentation du travail d’équipe à distance post-covid. Nous avons tous pu nous appuyer encore plus sur notre expérience post-covid pour mieux performer à distance. »